L’arrivée du jardinier anglais Jonathan Calderwood intervenue en début de saison 2013-2014 a donné un nouvel élan au club parisien. Désigné « Greenkeeper » de Premier League à deux reprises en 2009 et 2012 avec le club d’Aston Villa, il a permis au club parisien d’améliorer considérablement ses infrastructures sportives, que ce soit au Parc des Princes ou au centre d’entraînement et de formation Ooredoo. En effet, la densité moyenne de la pelouse du Parc des Princes est passée de 80% à 88% à son arrivée (juin 2013), faisant de la pelouse du stade de la Porte de Saint-Cloud la plus belle de France.
Une pelouse hybride, avec une densité proche de 98%, comme à l'Emirates Stadium.
Le jardinier britannique envisage aujourd’hui de faire de la pelouse du Parc des Princes, la belle du monde, de manière à offrir aux sportifs professionnels un outil de travail permettant de valoriser leurs performances mais également de faire entrer le club dans une démarche environnementale, sur le long-terme, comme il l’explique sur PSG TV :
« À partir de juin 2014, nous allons rebâtir la structure de la pelouse du Parc des Princes. Une pelouse, c’est bien plus que de l’herbe, un simple terrain. C’est véritablement scientifique de nos jours. Tout d’abord, 450mm de substrat (composé de : 150mm de graviers, un système de chauffage, 200mm de sable pur pour le drainage et 100mm de « zone racine » c’est à dire un mélange de terre et de sable pour assurer un apport en substances nutritives à la pelouse) sur lequel reposera une pelouse hybride (3% d’herbe synthétique en symbiose avec 97% d’herbe naturelle) via les technologies Desso Grassmaster (présent à l’Emirates Stadium, Wembley, Anfield etc) spécialisée et qui a d’ores et déjà fait ses preuves en Angleterre. Ses technologies permettront à la pelouse du Parc des Princes de devenir un véritable « billard » et de passer d’une densité moyenne de 88% en 2013 à 98% en 2014, comme à l’Emirates Stadium. »