La franchise de Coca-Cola City est d'une discrétion ahurissante depuis son seul titre NBA, en 1958. Non pas que les Hawks ne participent jamais aux phases finales, mais ils n'ont plus atteint les Finales depuis 1961. Un comble pour une équipe assez régulière dans ses performances, et toujours annoncée comme capable de créer la surprise.

Atlanta Hawks

Le marché des transferts

Les dirigeants des Faucons ont choisi de renforcer leur effectif, avec les arrivées de Thabo Sefolosha (2 mètres 01, 101 kg), international avec la Suisse, et de Kent Bazemore (qui peut pallier aux postes d’arrière et de meneur).

Les leaders

Du côté d’Atlanta, il manque un véritable meneur d’hommes sur le terrain, un joueur qui sort du lot par ses performances. Il y a bien sûr de très bons joueurs, comme Al Horford (2 mètres 08, 113 kg, et une moyenne de 14 points par match en NBA), Kyle Korver (joueur ayant rentré le plus de tirs à trois points de toute la NBA lors de la saison 2004-2005, soit 226, joueur ayant le plus de matches consécutifs avec au moins un tir à trois points inscrit de toute l’histoire de la NBA, soit 127) et Elton Brand (35 ans, 16 660 points en quinze saisons). On citera également Jeff Teague (17 points, en moyenne, par match, la saison dernière), et Mike Scott (2 mètres 03, 108 kg).

La préparation

Atlanta 83-87 New Orleans.

Memphis 93-88 Atlanta.

Miami 103-109 Atlanta.

Atlanta 100-104 Detroit.

Atlanta 117-114 Charlotte.

San Antonio 107-117 Atlanta.

En 2012-2013, la franchise de Charlotte avait signé l'un des pires bilans de l'histoire en saison régulière, avec 7 victoires pour 59 défaites. Mais la saison dernière les vit revenir parmi les meilleures équipes de la ligue, arrachant une place pour les phases finales grâce à une défense de fer.

Charlotte Hornets

Le marché des transferts

En 2012-2013, la franchise de Charlotte avait signé l’un des pires bilans de l’histoire en saison régulière, avec 7 victoires pour 75 défaites. Mais la saison dernière les vit revenir parmi les meilleures équipes de la ligue, arrachant une place pour les phases finales grâce à une défense de fer. Pour continuer sur cette lancée, ils ont choisi le puissant ailier Marvin Williams (2 mètres 06, 111 kg), et le prometteur Lance Stephenson, âgé de 24 ans, qui arrive après quatre saisons pleines à Indianapolis (quatre participations aux séries éliminatoires).

Les leaders

Comme l’an passé, l’arme fatale des Hornets sera Al Jefferson (trois participations aux playoffs en dix saisons, pour une moyenne de 17 points par match). Il bénéficiera bien sûr de l’aide de joueurs tels que Kemba Walker (qui tourne aussi à une moyenne de 17 points par match en NBA), ou encore Gerald Henderson (15 points, en moyenne, par match, sur les trois dernières saisons).

Les lieutenants

Gary Neal (quatre fois au-delà de la saison régulière en autant de saisons), un incroyable tireur à trois points, et Jason Maxiell (2 mètres 01, 118 kg) seront également des pions importants dans le dispositif des Hornets.

La préparation

Philadelphie 106-92 Charlotte.

Charlotte 99-86 Washington.

Charlotte 99-97 Orlando.

Charlotte 84-104 Detroit.

Washington 86-96 Charlotte.

Chicago 101-96 Charlotte.

Atlanta 117-114 Charlotte.

Charlotte 79–88 Indiana.

Après avoir atteint, à l'aide de LeBron James, les Finales quatre saisons de suite, et ce pour deux titres, le Heat devra faire sans le "King".

Miami Heat

Le marché des transferts

Les dirigeants ont réalisé de bonnes affaires cet été, assurant les arrivées du ”vétéran” Danny Granger (31 ans, cinq participations aux séries éliminatoires en neuf saisons, pour une moyenne de 16 points par match), du colossal Josh McRoberts (2 mètres 08, 109 kg), et de l’excellent Luol Deng (17 points, en moyenne, par match, sur ses dix saisons NBA), international avec l’Angleterre.

Les leaders

Ce recrutement de qualité devrait permettre à Dwyane Wade (dix fois All-Star, une fois meilleur marqueur de la NBA, et une moyenne de 24 points par match en dix saisons) et Chris Bosh (neuf fois All-Star, et une moyenne de 17 points par match en dix saisons) de s’exprimer avec autant, voire plus de liberté que les saisons passées.

Les lieutenants

Si on y ajoute les fidèles Mario Chalmers (une fois meilleur intercepteur de la NBA) et Chris Andersen (une fois meilleur contreur de la NBA), ainsi que les solides Justin Hamilton (2 mètres 13, 118 kg) et Udonis Haslem (2 mètres 03, 107 kg), le cocktail est explosif.

La préparation

Miami 86-98 New Orleans.

Miami 101-108 Orlando.

Miami 119-122 Cleveland.

Miami 103-109 Atlanta.

Miami 115-108 Golden State.

San Antonio 108-111 Miami.

Miami 90-85 Houston.

Memphis 98–104 Miami.

Depuis le départ de Dwight Howard, qui avait mené la franchise aux Finales, il y a cinq ans de cela, face aux Lakers, le Magic est en chute libre, présentant le bilan suivant : aucune qualification pour les phases finales en deux saisons, et seulement 26 % de victoires sur ces deux exercices.

Orlando Magic

Le marché des transferts

Les dirigeants ont choisi de cibler les joueurs capables de donner un nouveau souffle à la formation d’Orlando, et ont recruté Evan Fournier, étincelant à la Coupe du Monde avec l’équipe de France (médaillé de bronze), Willie Green, qui apportera son expérience à un groupe assez jeune (33 ans, sept participations aux phases finales en onze saisons), ainsi que le costaud Channing Frye (2 mètres 11, 111 kg).

Sans oublier l’expérimenté Luke Ridnour (33 ans, trois participations aux playoffs en dix saisons), et Ben Gordon (15 points, en moyenne, par match, sur dix saisons), international avec les USA.

Les leaders.

Ces nombreuses recrues de choix se joindront à Victor Oladipo (14 points de moyenne, par match, lors de sa première saison NBA), ainsi qu’au puissant Tobias Harris (2 mètres 06, 107 kg).

On citera également les solides gaillards que sont Maurice Harkless (2 mètres 06, 100 kg), et Andrew Nicholson (2 mètres 06, 113 kg).

La préparation.

Miami 101-108 Orlando.

Indiana 93-96 Orlando.

Charlotte 99-97 Orlando.

Orlando 99-87 Detroit.

Philadelphie 95-84 Orlando.

Orlando 92-117 Dallas.

Après cinq saisons blanches, les Wizards ont, la saison passée, retrouvé les phases finales. Mais pourquoi s'arrêter là ?

Washington Wizards

En recrutant le monument Paul Pierce (dix fois All-Star en seize saisons, une moyenne de 21 points, par match, en NBA, et un bilan de 25 030 points et de 1 670 interceptions en 1 180 matches), les dirigeants des Wizards ont affiché leurs ambitions.

Mais ils ont aussi enregistré les arrivées du vétéran Melvin Ely (36 ans, cinq participations aux playoffs en dix saisons, pour un titre NBA) et de l’imposant Kris Humphries (2 mètres 06, 107 kg).

Les leaders

Comme l’an passé, John Wall (18 points, en moyenne, par match, sur ses quatre saisons NBA) et Bradley Beal (17 points, en moyenne, par match, la saison dernière) seront les éléments forts de l’équipe de la capitale, au même titre que les imposants Marcin Gortat (2 mètres 11, 109 kg), international avec la Pologne, et Kevin Séraphin (2 mètres 08, 126 kg), international avec la France.

Les lieutenants

Pour tenter de rallier à nouveau les séries éliminatoires, ils pourront compter sur l’apport de Nenê (2 mètres 11, 113 kg), international avec le Brésil, et sur la fiabilité d’Al Harrington (14 points, en moyenne, par match, sur ses seize saisons NBA).

La préparation

Chicago 81-85 Washington.

New Orleans 89-94 Washington.

Charlotte 99-86 Washington.

Washington 91-89 Detroit.

Washington 86-96 Charlotte.

Washington 84-88 New Orleans.

New York 103-100 Washington.

VAVEL Logo
About the author