Dans cette rencontre francophone, et à l'enthousiasme épatant, la Belgique avait à coeur de bien démarrer tout comme l'Algérie.
La Belgique figée, l'Algérie en profite
Pendant les quinze premières minutes, les deux équipes se jaugent, mais, c'est Mahrez qui ouvre la première brèche sur une frappe qui passe à côté sur le côté gauche de la surface belge. (17ème). La réplique se fait attendre mais à la 20ème minute, Witsel s'ouvre un boulevard et à 20 mètres, tente sa chance ; M'Bohli dégage sur un bel arrêt. Le coup du sort viendra de l'Algérie qui obtient un pénalty sur une faute de Vertonghen : Feghouli transforme le pénalty (23ème). Sur un coup du sort, l'Algérie a pris l'avantage, alors que seules deux occasions avaient eu lieu ! La Belgique reprend le ballon, et Witsel semble être le seul joueur à l'aise, à l'image d'une nouvelle frappe à la 34ème minute, que l'Algérie arrive à dégager ! Eden Hazard, peu tranchant, réussit une passe vers Chadli qui ne peut redresser sa frappe (43ème). A la mi-temps, la Belgique n'arrive pas à grand chose, et le spectacle est encore peu intense.
Coaching payant.
Aux retours des vestiaires, les Belges ont le ballon, mais pour ne rien en faire. La meilleure occasion est pour Origi, sur une passe en profondeur, mais il rate son duel avec M'Bohli ! (66ème). C'est un nouvel entrant, Fellaini qui va faire respirer les Belges : de Bruyne centre pour Fellaini qui place une tête qui rentre dans le but, après avoir touché la barre (70ème). La Belgique ne se contente pas de ce point du nul, et continue à pousser, jusqu'à ce qu'à la suite d'un contre de Hazard, transmet, côté opposé à Mertens qui fusille M'Bohli (80ème). Les Algériens sont sonnés, Fellaini s'offre une nouvelle occasion, de la tête, mais cette fois-ci, M'Bohli fait la claquette ! (83ème). Finalement, la Belgique a poussé, en seconde mi-temps, et notamment avec un coaching payant, puisque Mertens et Fellaini, les deux entrants, ont marqué les deux buts belges. Pour l'Algérie, l'espoir est vite partie, puisque l'équipe algérienne n'a fait que défendre.